Dans Mondes (im)parfaits. Autour des Cités obscures de Schuiten et Peeters, la Maison d’Ailleurs interroge le rapport entre les notions de dystopie et d’utopie. Le fil rouge de l’exposition, une contribution majeure à l’art de la bande dessinée, Les Cités obscures, de François Schuiten et Benoît Peeters, propose un éclairage sur nos cadres de vie à travers des univers parallèles. Ceux-ci en révèlent les fantasmes, par le biais d’architectures fictionnelles monumentales, à la fois fabuleuses et incongrues.