A côté des expériences spatiales de toutes sortes qui marquent la Biennale 2018, le pavillon du Japon fait figure d’exception. En réunissant une quarantaine de dessins relevant d’une «ethnographie architecturale», la commissaire principale Momoyo Kaijima (Bow-Wow) en collaboration avec Laurent Stalder et Yu Iseki, donnent une définition de ce savoir bien spécifique que l’architecte peut employer pour porter un regard critique sur son environnement.